Quand je passe en mode Off, je suis d'humeur livresque !
D'autant que je me souvienne, je n'ai jamais vécu sans eux. Des "Martine en vacances", aux bibliothèques roses & vertes, à mes premiers romans, thrillers, essais ou biographies, ils étaient là. On faisait connaissance de loin : une couverture alléchante, un résumé tentant...A moins que la réputation ne les précède... Je les préfère bien gros, bien épais, promesse d'une belle échappée au long cours.
Toujours en pile, jamais éparpillés... M'entourant, attendant sagement que je vienne effleurer la couverture avant de caresser chacune des pages pour un tête à tête bien voluptueux.
Avec eux je m'évade, je rêve, j'apprends, je deviens une autre, je vis ailleurs. Mon esprit s'infuse... Evasion, embardée, glissade, envolée littéraire. Mais en aucun cas une fuite !!!!
Eva Vazquez |
Aux images de la télé j'ai souvent préféré les mots des livres et leur mélodie silencieuse...Je deviens alors ma propre réalisatrice, imaginant un visage sur un héros, une voix au dialogue, reconstituant le décor en version onirique ! Lorsque je referme un livre, arrivant souvent à regret sur le mot de la fin, je porte en moi l'histoire qui continue de vivre... Je suis et serai une book lover for ever voire une Bookaholic !
A la Librairie Le trèfle (Curepipe) ou à l'Atelier Littéraire (port Louis) j'aime y flâner. Petit effeuillage de mes lectures passés ou à venir.
J'ai Adoré.....
Quand le peintre Hopper illustre ou inspire l'écrivain :
Quand le peintre Hopper illustre ou inspire l'écrivain :
"Mais après l'amour, Marcus,
après l'amour, il n'y a que
le sel des larmes"
|
"On se tait parce que les larmes ça coule sacrément mieux dans le silence" |
"leurs silences possédaient une qualité magique : la fragilité parfaite d'une bulle de savon..." |
"Pardonner sans oublier ne sert à rien sinon à nourrir des douleurs insatiables" |
"Lorsque la bêtise gifle
l'intelligence, l'intelligence
a le droit de se
conduire bêtement"
|
"Je suis la femme de l'homme qui ne réussit pas. Je suis le numéro deux du numéro trois" |
Oscar et la Dame Rose, Eric Emmanuel Schmitt.
RépondreSupprimerA l'opposé des gros pavés, à lire en une soirée, il reste quelques journées ensuite en mémoire !
Bises Miss !